AGUILA soutient le défi de la Traversée de l’Atlantique à la rame !

Le jour J approche. Dans quelques jours, Jean-Marc Dupont s’élancera pour un périple de deux mois de traversée de l’Atlantique à la rame.

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  • Un défi de taille

Jean-Marc Dupont réalisera sa traversée de l'Atlantique à la rame en solitaire, avec pour seul compagnon un bateau de 8m de long, chargé des provisions nécessaires pour 60 jours et 5000 km de traversée.

Cet éducateur sportif originaire du Pays Basque aime se challenger et donner le meilleur de lui dans tous ses projets.

Il dédie ce projet à l’association « Rien que du bonheur », qui vient en aide aux Blessés de guerre.

Jean-Marc partira en décembre des Canaries pour rejoindre la Martinique au bout de deux mois de traversée.

Il sera assisté d’un météo-routeur via un téléphone satellite : 2 personnes vont se relayer 24h/24 pour le guider sur son trajet.

AGUILA fournira ses solutions de positionnement satellite pour connaître en temps réel la position de Jean-Marc et nous pourrons ainsi suivre ses aventures sur le lien ci-dessus.

  • AGUILA met à disposition ses compétences satellitaires

Depuis 2009, AGUILA développe une expertise de pointe des systèmes électroniques communicants de petite taille et de faible consommation énergétique intégrant la géolocalisation. AGUILA a choisi d’équiper Jean-Marc d’une solution satellitaire afin qu’il puisse être géolocalisé par ses routeurs.

    Avant de prendre la mer, le défi sera du coté d’AGUILA !

    Tout d’abord, le défi sera dans la robustesse de l’équipement électronique qui devra résister à l’environnement marin et salin. Le système électronique embarqué doit être capable de résister à de fortes amplitudes thermiques. Le dernier défi auquel devra répondre la solution d’AGUILA  concerne l’énergie. En effet, la solution doit être conçu pour une durée de 3 mois. Or les communications par satellite peuvent être consommatrices en énergie. AGUILA a cette capacité aujourd’hui de pouvoir proposer un système de géolocalisation à très faible consommation énergétique intégrant la communication par satellite. Cette communication par satellite va permettre de suivre à distance l’évolution du bateau  tout au long de la traversée de l’Atlantique.

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    • Nous avons posé quelques questions à Jean-Marc sur son incroyable défi

    Pour quelles raisons as-tu choisi de relever ce challenge ?

    Tout d’abord, c’est un défi personnel. J’ai subi un grave accident de montagne il y a 5 ans. Je souhaite tenter une aventure ultime, extrême, que peu de gens ont tenté de réaliser et réalisé. Je voulais tenter de voyager sur le dos d’un grand géant qu’est l’Océan Atlantique. Je veux aussi soutenir les océans à travers ce défi, c’est très important, c’est le cheval de bataille premier de la génération actuelle.

    Je tiens à soutenir aussi les Gueules Cassées qui sont les blessés de guerre et les blessés de la vie et leur montrer qu’après un grave accident on peut se reconstruire et justement tenter quelque chose d’exceptionnel.

    Est-ce ta première expérience sur un bateau ?

    Tout à fait oui.  Je suis un kayakiste de mer, je fais beaucoup de sorties en kayak de mer. Mais tenter de passer 60 jours voire plus sur l’océan c’est une première pour moi.

    Comment te prépares-tu ?

    J’ai suivi un entraînement physique avec un préparateur physique du CREPS de Soustons qui dépend du CREPS de Bordeaux. Il m'a préparé tout un programme. Ensuite je rame tous les matins pendant une heure, une heure et demie. Pendant le confinement j’étais coincé dans mon garage mais dès que le confinement s’est terminé je me suis mis à ramer tous les matins au lac de Saint Pée sur Nivelle. Je fais une heure et demie de VTT aussi quotidiennement. Et puis je suis suivi mentalement par un kinésiologue qui s’occupe de mes petites peurs et appréhensions.

    Quelles qualités sont importantes pour relever ce défi ?

    Je crois que c’est de ne rien lâcher, c’est l’abnégation, c’est la résilience. C’est aller jusqu’au bout et tenter coûte que coûte d’avancer. Il est impossible de faire marche arrière, donc il faut avoir cette volonté quotidienne d’avancer jusqu’à toucher la Martinique.

    Que crains-tu le plus ?

    Les chavirages, le mauvais temps, la tempête mais je compte sur mes routeurs météo et à la balise de géolocalisation, passer entre le mauvais temps.

    Quelques mots sur le système de géolocalisation développé par AGUILA ?

    La balise c’est le lien essentiel puisqu’elle va être le lien entre mon routeur, les personnes qui me suivent et moi-même. Ils vont s’appuyer sur cette balise pour connaître en permanence ma position GPS et me proposer une route optimale par rapport aux vents, aux courants et aux perturbations éventuelles à venir. La balise, c’est le lien qui me relie à la Terre aussi parce que tout le monde pourra suivre mes actualités au quotidien via la page internet d’AGUILA. C’est cet outil qui relie les hommes aux hommes.

    • Cliquez sur cette carte pour découvrir la position de Jean-Marc en temps réel !

    • Bonus. Pour en savoir plus sur la constitution de son bateau et sur ses moyens de survie, voici une petite vidéo explicative

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